20 août 2010

Quick Soccer - Toulon Estiball du 18 août 2010

Aréna des Lices

Quatre équipes et quelques joueurs libres invités comme remplaçants ont participé au Toulon Estiball.
Cette rencontre amicale à la fraîche pour le plaisir de jouer ensemble   a réuni  d'excellentes équipes pour son avant dernière édition : La Tiger Team, l’ Ivory Team, les Quickers du FC Lices et la Pont Karal Team.
Lors de cette soirée, nous pûmes assister à de très belles phases de jeu qui soulevèrent des applaudissements de tous.

Le bémol à cette fête: Malgré des qualités individuelles incontestables, quelques joueurs éprouvèrent une difficulté a s'intégrer dans l' exigence et le respect de l'Esprit et la culture "Quicker"* avant de s'y inscrire au fil des matchs et de développer leur jeu.
Leurs excuses envers le Président et les autres joueurs pour "débordement contre-productif" furent tout à leur honneur.

UNE ÉTOILE EN HERBE
Parmi les joueurs libres , un jeune garçon de 12 ans fit l'admiration de tous par sa technique, la propreté de son jeu et son sens du placement instantané.

*Élément de la culture  sportive Quicker :Comme chacun sait, des chercheurs ont démontré que la joie et le plaisir partagés (ici d'un sport compétitif sans agressivité) renforcent les connections et les contacts cérébraux qui créent le lien social , la solidarité et la cohésion.
C'est l'état d' esprit qui a animé toutes nos équipes nationales qui ont remporté tant de médailles dernièrement.

RAPPEL
Dans la culture du Quick Soccer, tous les participants connaissent et garantissent par eux-mêmes les règles et règlement.

Comme au tennis, le silence est requis quand le ballon est en jeu. Seuls les codes verbaux de jeux entre joueurs sont autorisés.Aucune altercation verbale, ni jurons ne sont permis sur le terrain sous peine d’exclusion.

Une règle fondamentale qui garantit l'équité :
L’ARBITRAGE INTERACTF ET PARTICIPATIF
Dans le cas d’un litige arbitral, une équipe par l'intermédiaire de son capitaine peut demander simplement un temps mort de vérification auprès des accesseurs ou par un contrôle vidéo (prévu) afin de ne léser aucune équipe pour l’équité du jeu. La décision finale revient au juge arbitre. Elle est incontestable et acceptée de tous.