25 avril 2012

Le Produire « sport » français n’est pas encore dans les mœurs des politique


Le Produire « sport » français n’est pas encore dans les mœurs des politiques plus enclins aux importations sportives
Etre un sport français : Un parcours entre incompréhension, ignorance et défense de pré- carrés ou quand une petite divergence locale révèle un vrai problème national. 

Suite à notre demande de renouvellement de subvention auprès de notre Instance Régionale PACA, le Cabinet de Monsieur le Président VAUZELLE a rejeté, cette année, notre dossier de subventions.
Ce rejet du dossier fut au motif que « la Région ne finance pas d’association propriété d’un individu ».
L’association Pro Soccer Aréna n’est pas la propriété de Georges Decerier mais celle des pratiquants. Le sport et l’organisation  du sport, qu’elle gouverne et dont elle défend les valeurs et l’éthique tant sportives que comportementales, ont fait eux l’objet de dépôt à l’INPI. 

Les raisons de ces dépôts :

 Le concept dit du Quick Soccer est né d’une réflexion et de l’écriture par Georges Decerier, en 2001-02,  d’un projet de Gouvernance et d’organisation de Sports de loisir à passerelle compétitive Pro-Am : En résumé un ascenseur sportif et social ouvert à tous et paritaire. Il permet l’émergence des talents et des collectivités du plus profond d’un pays. De plus un concept low cost à forts retours tant financier que d’image.  

Il fut conçu en anticipant  non seulement les crises financières qui se faisaient jour. Il apportait nombre de solutions aux problématiques soulevées par l’Assemblée du Sport (2011). Il permet de concilier simplement d’une part tous les aspects du sport, d’autre part  les politiques sportives et les intérêts de tous les intervenants (intérêts locaux, nationaux mais aussi  internationaux du sport français), le tout dans le contexte juridique européen.

Pour rester français

D’autre part, l’exemple de captation d’un sport  par une  fédération internationale au détriment de sa fédération fondatrice  existe. Ce qui fait que selon les pays le sport est généré par l’une ou l’autre de ces fédérations, voire les deux.

La Maitrise de la gouvernance :

Ce que découvrent en 2008 le rapport Douillet et les travaux en février 2012 de la mission
sur la gouvernance des fédérations sportives, présentés par Monsieur le Député Gilles D’ERRORE font également ressortir le déclin français. D’autre part, la concurrence  entre les nations pour l’obtention  d’épreuves internationales et de prestiges tant sportifs que politiques est largement ouverte.  Il était pourtant simple de comprendre que dès que l’on n’a pas la maitrise de la « Gouvernance internationale » les décisions de Fédérations et Instances qui n’ont aucun compte à rendre sur  leur politique, échappent aux Etats. Ceci d’autant plus que les épreuves internationales ont été déposées et sont protégées.

Pour pouvoir citer un sport collectif né et gouverné en France

On comprendra alors pourquoi en 2006, devant le manque d’intérêt de nos dossiers par
·       le ministère des sports français,
·       l’Andiiss et de l’Andes,
·       les Maires de France, des régions et des départements,
·       les Députés de la commission sport
et dans le même temps la classification de « Produit Innovant » par les acteurs du sport,  le représentant de la DD JS du Var, invita Georges Decerier à déposer à ses frais le plus d’éléments possibles à l’INPI pour préserver le concept en attendant...le « bon vouloir » des politiques.
Des dépôts furent donc fait par le créateur du concept du Quick Soccer dans le but de renforcer comme le souhaitait Georges Decerier la recherche, le développement et l’export de sports porteurs de nos valeurs nationales et européennes et dont la Gouvernance Internationale détentrice de droits, serait en France  et non pas dans un paradis fiscal.
Ceci aurait l’avantage de créer des emplois, de la richesse et de générer des taxes en France.