Quand Georges Decerier , fondateur du Quick Soccer , prêchait dans le désert intellectuel.
Dès 2006, il présentait tant au ministère des sports, à des fonctionnaires territoriaux qu'à des élus une alternative économique crédible au tout association ou tout entreprise sportive permettant aux investisseurs tels que les collectivités d'avoir des retours directs .
Il semblerait que le bon sens ait f'rappé nos édiles en cette fin d'année.
Comme quoi en France , il ne faut surtout pas être intelligent avant les politiques . A la différence d'autres sports nous sommes toujours traités comme des parias du sport français. .
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